Adopter les techniques qui vous aident à venir à bout du Syndrome du Stress Post Traumatique
“A mes patients dont le corps n’a rien oublié et qui m’ont tout appris”. Voici un extrait du dernier livre de Bessel Van der blok intitulé Le corps n’oublie rien. Cet éminent psychiatre s’est évertué tout au long de sa carrière à soigner le patient atteint et non uniquement ses symptômes.
Il est professeur de psychiatrie à la Boston University et fondateur du Trauma center de Boston. Son parcours médical et pédagogique lui donne une certaine notoriété en la matière. Et pourtant, le corps médical n’a pas toujours été enclin à écouter ce qu’il avait à dire… Nombreuses ont été les embûches, avant que ses méthodes avant-gardistes soient entendues par ses confrères.
Le Syndrome du stress post-traumatique ou SSPT a cette fâcheuse tendance à exprimer des symptômes qui peuvent être affiliés à différentes pathologies. Ce qui en fait une maladie difficilement diagnosticable. Bien souvent, les patients errent de traitement en traitement. Ils ont souvent à leur actif un panel de diagnostiques bien chargé. Et pourtant, il existe une méthode naturelle qui guérit particulièrement bien cette maladie.
Vous en avez assez de jongler d’un diagnostic à un autre et vous souhaitez savoir si vous êtes atteint d’un SSPT ? Ou bien, vous savez que vous en êtes détenteur, mais vous n’arrivez pas à en venir à bout ? Alors cet article vous explique comment une méthode naturelle peut mettre fin à l’insupportable.
Le Syndrome du Stress Post Traumatique : un traumatisme comme un autre ?
Il y a les petits traumatismes du quotidien…
Il est tout à fait normal d’être choqué lorsqu’on assiste à une scène marquante. Prenons l’exemple d’Aurore et de sa sœur Hélène. Elles se rendent à la mer à vélo avec leurs parents. Quand tout à coup, Hélène fait un malaise et tombe de son vélo. Sa sœur et ses parents continuent leur balade sans remarquer son absence. Pendant ce laps de temps, des passants ont relevé Hélène qui avait le visage ensanglanté suite à une coupure de l’arcade sourcilière. C’est sa mère qui se retourne en premier et aperçoit sa fille couverte de sang et qui se met à hurler. Ils garderont un mauvais souvenir de cette histoire qu’ils se répètent encore à chacune de leur rencontre.
Ce souvenir a été correctement mémorisé et mis en mots. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas en fonction de la gravité de l’événement auquel nous assistons. Lorsque une menace de mort imminente intervient, la victime est bloquée. Même après qu’elle s’en soit sortie, la mise en mots de ses propres maux n’est pas possible…
Et les événements qui laissent une marque indélébile…
Dans le cas du Syndrome Stress Post Traumatique , on parle d’expérience insoutenable qui a mis en jeu l’intégrité physique de la personne concernée et provoqué des sentiments indescriptibles. Il s’agit d’une “empreinte” pour reprendre le terme utilisé par Van der Kolk. Cette trace a affecté autant l’esprit, que le corps et notre cerveau.
En général, on relève trois catégories d’aléas qui sont à l’origine de ce SSPT :
Être confronté de manière abrupte à la mort : attentat, assister au meurtre d’un proche, climat de guerre…
Avoir subi une menace de mort : tentative de meurtre, agression à l’arme blanche…
Être victime de viol par un inconnu ou d’un membre proche de la famille.
Quand la mémoire vous fait défaut…
L’INSERM a annoncé en novembre 2020, des chiffres éloquents quant aux chances de guérison d’un SSPT. S’il est rapidement pris en charge, il peut guérir en 6 semaines. Mais 1 fois sur 5, il devient chronique et peut avoir des conséquences désastreuses sur la santé mentale.
En ce qui concerne les SSPT, l’intensité de l’événement provoque une hypermnésie : la personne est capable de revivre la scène qui l’a traumatisée. La réminiscence se traduit par un regard figé, hagard comme s’il regardait un film que seul lui peut voir. Mais le patient n’est pas capable de le verbaliser pour en prendre conscience et prendre du recul sur l’événement. La répétition de ce “film” a un impact considérable sur la vie de la personne.
C’est exactement ce qui s’est passé pour Benjamin, 39 ans, ancien soldat. Il a été plusieurs fois en mission en Afghanistan après les attentats du 11 novembre. Un jour, il a été pris en embuscade avec 4 de ses pairs. Il en a réchappé, mais ne peut oublier le visage de ses camarades ensanglantés et sans vie gisant sur ce sol souillé de rouge. Au retour de cette dernière mission, il prend une décision irrévocable : quitter l’armée. Il en a fait part à son chef, sans lui expliquer pourquoi. Seule la façon dont les mains de Benjamin se tordaient, son regard horrifié et sa bouche tordue de douleur ont convaincu le lieutenant de ne pas le renvoyer sur le terrain. Son cerveau sait qu’il a vécu un traumatisme, mais il était incapable de le mettre en mot.
C’est le cas de nombreux vétérans de guerre.
7 signes qui montrent que vous êtes atteints du Syndrome Stress Post Traumatique
Quand les premiers signes émergent…
Les psychiatres s’accordent à dire que les symptômes d’un tel traumatisme, peuvent pointer le bout de leur nez au cours des 3 premiers mois post-traumatisme. Mais le cerveau n’a pas encore dévoilé tous ses mystères aux neuroscientifiques… Pour des raisons encore méconnues, ces derniers peuvent apparaître au bout de plusieurs mois, voire plusieurs années. La mémoire a ses secrets…
Une longue liste proportionnelle à la douleur ressentie
Bien évidemment, chaque être humain est différent. Vous pouvez ressentir quelques-uns de ces symptômes ou tous. Et ceci à des degrés d’intensité différents et à des fréquences variées. Il n’y a pas de règle en matière de douleur psychique.
Réalisons maintenant ce petit test et répondez sans réfléchir aux questions suivantes :
Vous êtes parfois envahi(e) par un sentiment de peur irraisonnée sans pouvoir agir dessus et qui se traduisent de la manière suivante :
– un excédent de sueur ;
– une tachycardie inexpliquée ;
– des tremblements ;
– une accélération du rythme respiratoire ;
– des frissonnements.
Vous n’arrivez pas à vous débarrasser de pensées qui surgissent à votre esprit, même en pratiquant la méditation. Ces dernières causent chez vous : une crise d’angoisse ou un état dépressif.
Vous êtes victime de réminiscences de type flash-back ;
Vous vous sentez handicapé(e) dans certaines situations intimes : libido et tendresse en berne.
Vous êtes rapidement dispersé(e) au travail ou dans vos activités. Se concentrer relève parfois du parcours du combattant.
Vous avez des difficultés à vous endormir.
Vous vous sentez constamment sur le qui-vive comme si le pire pouvait arriver à chaque instant.
Si vous avez répondu par l’affirmative à la majorité de ces questions, il y a fort à parier que vous êtes atteint(e) du Syndrome de Stress Post Traumatique. L’identifier auprès d’un médecin psychiatre est la première étape du chemin qui vous conduira vers la guérison. Quelles méthodes peuvent guérir le SSPT ?
Il y a les méthodes traditionnelles …
Si vous avez la chance d’être diagnostiqué rapidement sans que l’on ne vous ait identifié comme bipolaire, dépressif ou atteint d’un TDAH, alors tant mieux pour vous ! La bonne nouvelle est que le trouble de stress post-traumatique se soigne ! Comme le souligne très bien Van Der Kolk, la psychiatrie actuelle est régie par le DSM 5 : c’est une référence médicale qui regroupe toutes les maladies psychiatriques et les symptômes associés.
Par conséquent, les méthodes de soins sont figées sur la guérison des symptômes. Les psychiatres proposent un traitement médicamenteux et une psychothérapie associée.
Les médicaments : ces derniers ont pour objectif de diminuer les symptômes cités plus haut. Les médecins prescrivent alors antidépresseurs et anxiolytiques. Ils peuvent effectivement être très utiles pour pallier une crise anxiogène ou une dissociation de l’esprit. Mais, malheureusement, ils ne s’attaquent pas à l’origine du problème pour une guérison sur le long terme.
D’autres techniques liées à la psychothérapie ont fait leurs preuves et empêchent une dépendance médicamenteuse : la thérapie cognitivo-comportementale, l’EMDR et enfin l’hypnose.
C’est cette dernière technique qui va nous intéresser et que nous vous avons présentée dans les articles précédents. Bien souvent, les traumatismes profonds remontent à l’enfance. Ce sont ces blessures qui méritent d’être guéries par l’hypnose. Pascale la pratique régulièrement sur les patients victimes d’un traumatisme passé. Mais laissons Noémie en témoigner…
Zoom sur la ville de Bayonne
Noémie, 29 ans, future maman et formatrice au GRETA.
J’ai mis entre parenthèses ma carrière pour vivre pleinement ma grossesse. Avec mon compagnon, nous attendons cet événement avec impatience. Et pour cause, sans pouvoir l’expliquer, je ressens une gêne dans les moments intimes avec mon compagnon. Ce qui n’a pas facilité la conception. Même si Benoît m’assure que cela ne le gêne en rien, car il est fou amoureux de moi, je ne peux m’empêcher de culpabiliser.
Un jour en promenade dans les ruelles de Bayonne, je me suis arrêtée quelques instants au pied du pont du quartier St Esprit. J’appréhende toujours de passer au-dessus d’un point d’eau, et ce, depuis toute petite. Mais cette fois-ci, peut-être sous l’action des hormones de la gestation, plusieurs flash-back m’envahissent. Des souvenirs désagréables remontent à la surface et me mettent dans un état à la limite de la crise épileptique. Je prends alors un taxi pour rentrer et m’isoler.
J’avais besoin d’aide et j’ai alors pensé à prendre de nouveau contact avec Pascale. Nous avions déjà travaillé ensemble, car elle m’avait déjà coachée pour quitter mon travail de serveuse pour devenir formatrice. Je lui ai exposé la situation très désagréable que je venais de vivre. Pascale, me propose de réaliser une séance d’hypnose pour identifier et faire remonter mes souvenirs enfouis. À ma grande surprise et pour le plus grand des désarrois, les souvenirs m’assaillent et je me souviens avoir été victime d’attouchements par un de mes voisins au bord du canal qui jouxtait la maison de mes parents.
Passé la considération du traumatisme, Pascale m’a aidé à mettre en mots mes émotions et je ne la remercierai jamais assez ! Le travail n’est pas terminé, mais je sais que la guérison est au bout du chemin !”
L’automne vous rend-il maussade ? Gare à la dépression saisonnière
Nous sommes officiellement entrés dans l’automne la semaine dernière. Pour certains, cette période est très appréciée. La baisse des températures appelle au cocooning et à se blottir sous un plaid en écoutant la pluie, ou à déguster un chocolat chaud au coin du feu, ou bien encore à ramasser des champignons en forêt…
Pour d’autres, comme certains d’entre vous qui êtes sujet à une dépression saisonnière, une longue période sombre s’annonce. Pour vous, l’automne s’apparente davantage à un sol boueux où vous risquez de glisser, à un enfermement forcé à cause du temps pluvieux et surtout à une faible luminosité due aux nuages gris et persistants.
Toutes ces idées noires, influent chaque jour un peu plus sur votre moral. Si cela ne durait que quelques jours, vous seriez en capacité de vous faire une raison… Or, cette période risque de s’étendre jusqu’au printemps prochain, soit 6 longs mois à broyer du noir !
Chaque année, vous appréhendez cette période sans pouvoir y échapper ? Vous êtes à la recherche d’une solution pour mettre définitivement fin à ce cercle vicieux qui vous plonge chaque année dans la dépression saisonnière ? Alors cet article va vous éclairer.
Quelles sont les causes de la dépression saisonnière ?
Facteur principal : la baisse de luminosité
Le facteur principal à l’origine de la dépression saisonnière est sans conteste le manque de luminosité naturelle. Mais ce dernier impacte chacun d’entre nous à différents degrés bien sûr. Alors quand peut-on parler de pathologie clinique ? Le DSM 5 qui fait office de référence dans la catégorisation des maladies psychologiques est psychiatrique définit plusieurs critères :
Ce type de dépression doit intervenir à la même période et ce chaque année : soit à l’entrée de l’automne, soit à l’entrée de l’hiver ;
La récurrence de ce phénomène doit apparaître au moins deux années de suite chez le patient de ce type ;
La phase dépressionnaire doit subsister au moins jusqu’au printemps suivant.
Liens entre luminosité et régulation hormonale
À l’entrée dans l’automne, vous avez sans doute été interpellé par la vitesse à laquelle les arbres se dénudent de leurs feuilles. Il en va de même pour la luminosité. Le choc est violent, puisque nous passons d’une luminosité égale à 100 000 lux au cours des journées d’été les plus lumineuses à 2 000 lux, pour les journées hivernales les plus nuageuses.
La mise en corrélation de l’influence de cette baisse de luminosité et la baisse de moral, nous la devons au psychiatre et chercheur Dr Norman E.Rosenthal. Ses découvertes remontent au début des années 80, au National Institute of Mental Health. À cette même période a été découverte la luminothérapie. Après avoir exposé aux rayons lumineux artificiels à large spectre, certains des patients atteints de dépression saisonnière, il a fait le constat suivant : les symptômes diminuent.
L’automne joue-t-il avec votre horloge interne ?
Comment la lumière peut-elle influer à ce point notre humeur ?
Pour faire simple : l’œil influe sur le cerveau qui modifie les sécrétions hormonales. Oui, mais de quelle manière ? Une fois que les rayons lumineux entrent dans l’œil, ces derniers sont codés sous forme de signaux électriques pour être “lus” par le cerveau. Le cerveau, ordinateur très puissant, enregistre ces informations via les neurones. Les neurones qui vont agir sur les neurotransmetteurs : petites molécules chimiques. Parmi elles, on relève principalement 2 hormones que sont : la sérotonine et la mélatonine.
La sérotonine régule différentes fonctions vitales telles que : l’humeur, le sommeil, les risques de dépression, l’agressivité… Et elle régit la sécrétion de mélatonine. Celle dernière assure quant à elle, l’équilibre des rythmes circadiens : jour/nuit. La sécrétion de cette dernière est réduite en plein jour pour vous permettre de rester éveillé et elle est accélérée la nuit pour vous pousser dans les bras de Morphée. Or, une diminution brutale de la quantité de lumière naturelle a pour effet chez certains, comme vous qui souffrez de dépression saisonnière, de récolter une horloge interne toute déréglée.
Les effets néfastes sur le mental liés à l’entrée dans l’automne
S’il s’agit d’un épisode sporadique, tant mieux pour vous ! Mais, si chaque année, le scénario se reproduit, il y a fort à parier que vous devez en être victime. Les symptômes peuvent être variés en fonction de votre profil, mais les conséquences sont toutes aussi pénibles à vivre au quotidien.
Marie, 21 ans, étudiante en fac d’Anglais depuis 2 ans à Montréal.
Chaque année, c’est la même chose, elle entame l’année universitaire sur les chapeaux de roue, puis à l’arrivée de l’automne, son réservoir d’énergie s’épuise. Elle rentre dans un état de fatigue qui lui pèse au quotidien. Elle s’affale dans l’amphi où elle résiste pour ne pas s’endormir. Et le soir, elle est victime d’insomnie. Son horloge biologique fonctionne à l’envers. Les répercussions ne se font pas attendre sur sa productivité. Elle n’arrive plus à se concentrer.
Par conséquent, suivre les cours devient difficile. Si vous aussi vous êtes étudiant et dans la même situation, vous savez que ce cercle infernal nuit grandement à votre parcours universitaire. Il va remettre en jeu toutes vos chances de réussite. L’année précédente, Maria a pu rattraper le temps perdu entre mars et juin, période où son moral est remonté en flèche avec l’avènement du printemps. Mais elle a décroché son année de justesse. Plus les années passent, plus la charge de travail augmente, si elle ne trouve pas de solution, elle risque de rater son diplôme universitaire.
Sofiane, 41 ans, père d’une petite fille et marié depuis 3 ans.
Chaque année, la femme de Sofiane, Cécile, lui fait la même remarque : “l’automne ne te va pas !”. Effectivement, à cette même période, depuis qu’ils se connaissent, cela fait environ 10 ans à présent, Sofiane qui est habituellement souriant devient triste et irritable. Si c’était passager, personne n’y prêterait attention.
Or, cela influe sur leur couple et leur vie de famille. Vous avez sans doute déjà pu vous aussi éprouver cela : un rien vous agace, vous criez sur vos enfants à la moindre bêtise et pour ne rien arranger, votre libido descend en flèche… Cécile, sa femme, même si elle l’aime énormément, commence à saturer face à la récurrence de cette situation. Par dessus tout, elle ne supporte plus que son mari s’emporte sur leur petite fille de 2 ans à la moindre incartade.
Si Sofiane ne veut plus être victime de la dépression saisonnière, il va devoir se prendre en main. Les traitements qu’il a déjà pris au cours des années précédentes n’ont eu aucun effet. Il va donc devoir se pencher sur une autre alternative.
L’hypnose : un remède naturel pour éviter la dépression saisonnière
Si comme Sofiane et Marie, vous voulez vous débarrasser définitivement de la dépression saisonnière, faites appel à un hypnothérapeute. Pour en savoir plus sur cette technique à proprement parler, nous vous invitons à lire un de nos articles précédents. Aujourd’hui, nous vous proposons de vous prouver en quoi l’hypnose agit spécifiquement sur cette pathologie. Ce qui caractérise la dépression saisonnière, nous l’avons déjà dit, c’est le manque de lumière naturelle. Alors le coach en hypnose va vous accompagner au son de sa voix, vers des lieux emplis de chaleur.
Ces derniers vont vous procurer des sensations physiquespositives. Vous entrerez alors dans un cocon fait sur mesure, rien que pour vous ! Le coach en hypnose vous entraînera à retrouver ces sensations par vous-même par le biais d’exercices quotidiens. Ainsi, vous prolongez les effets de la séance sur le long terme. C’est tout l’intérêt de pratiquer l’hypnose avec un coach. En effet, ce dernier, tout comme Pascale, ne se limite pas au bien-être délivré uniquement pendant la séance. Il prend en compte votre mal-être quotidien et vous donne des exercices à reproduire chaque jour pour obtenir l’effet escompté. Vous devenez acteur de votre guérison.
Zoom sur Montréal
Valérie 62 ans, mamie épanouie, veuve depuis 4 ans, à Montréal
“J’ai lu dernièrement que 18 % des gens sont touchés par une dépression saisonnière au Canada. C’est d’autant plus vrai au Nord-est, comme à Montréal chez moi, où les hivers sont longs et rudes. C’est à la lecture de ces quelques lignes que je me suis questionnée sur ma propre dépression saisonnière.
Je suis une enseignante retraitée et comblée. Je suis bénévole dans de nombreuses associations et passe beaucoup de temps avec mes petits-enfants de respectivement 6 et 9 ans qui habitent à proximité de chez moi. Cependant, chaque année, mon fils et ma belle-fille s’inquiètent pour moi. Plus précisément, pour mon moral. À chaque entrée dans l’hiver, je deviens morose. Les journées raccourcissent et agissent sur ma bonne humeur. J’ai moins envie de m’adonner à mes activités quotidiennes. Il en va de même pour le bénévolat qui me passionne habituellement. Mon fils me fait également ressentir, que j’ai l’air “ailleurs” lorsque je m’occupe des petits.
Chaque année, l’arrivée du printemps dissipe tous ces nuages noirs et le moral est de nouveau boosté. Or, que ce soit pour moi ou mes proches, je commençais à en avoir assez d’appréhender cet hiver qui me pèse tant. Alors, à force de visionner des vidéos et de lire des articles sur le net, je suis tombée sur cette vidéo de Pascale qui traitait des bienfaits de l’hypnose. Touchée par son discours et sa spontanéité, je n’ai pas hésité longtemps. Je l’ai contactée pour une première séance à distance. Conquise et ravie des effets obtenus rapidement, j’ai réalisé plusieurs séances qui m’ont beaucoup aidée.
J’ai traversé le dernier hiver d’une manière totalement différente. Je me suis concentrée sur les éléments positifs de cette saison et sur tous les petits bonheurs qui m’entourent au quotidien. Merci pour tout Pascale !”
Après avoir tout essayé, l’hypnose sera sûrement LA solution à vos problèmes
Aujourd’hui, nombre d’entre nous ont déjà consulté une multitude de spécialistes pour venir à bout de sa dépression. Combien de thérapeutes et de traitements avez-vous consulté pour guérir de votre dépression chronique ? Les statistiques actuelles ne trompent pas. Selon l’INSERM, 1 personne sur 5 souffrira d’une dépression au cours de sa vie. Le plus terrible est qu’on estime que 5 à 20 % de ces personnes tenteront de se suicider. La dépression est une maladie psychologique qui ne doit pas être négligée. Dans 70 % des cas, les traitements et psychothérapies associés sont efficaces. Ce qui signifie que malgré un traitement et un accompagnement médical, 3 personnes sur 10 ne s’en sortent pas ! Faites-vous partie des 30 % restants ? La pratique de l’hypnose accompagnée par un coach spécialisé vous propose une porte de sortie, pour des jours meilleurs.
Quelles sont les causes de la dépression ?
La dépression, un terme qui s’est vulgarisé, voire banalisé. Étant donné qu’elle touche environ un cinquième de la population mondiale, il y a deux options possibles : soit vous connaissez un membre de votre proche entourage qui est touché par cette maladie, soit vous en êtes victime vous-même. Elle ne s’adresse pas à une catégorie d’âge en particulier. Non, elle touche tout le monde à des degrés variés.
Comment se manifeste-t-elle ?
Vous vous sentez peu à peu envahie par une tristesse maladive. Bien souvent, vous n’arrivez même pas à identifier la raison de cette tristesse. Vous n’avez plus goût à rien, même votre pâtisserie préférée ne vous attire plus. Un autre détail qui peut avoir des conséquences néfastes, vous n’arrivez plus à vous concentrer. Même si vous êtes féru de lecture, lire un livre devient une activité difficile. Il vous faut relire dix fois la même page pour la comprendre.
D’un point de vue extérieur, rien ne transparaît…
Prenons l’exemple de Lucile, 29 ans, couturière de mode. Elle a toujours été dotée d’une créativité sans faille. Mais depuis quelques mois, les idées lui font défaut. Elle n’arrive pas à se concentrer pour créer de nouveaux patrons. Les commandes s’accumulent et les clients s’impatientent. Ce qui lui renvoie une faible estime de soi et accentue sa tristesse. Pourtant, aucun événement récent ne justifie cet état pathologique. Ses amis commencent à s’inquiéter pour elle, mais elle préfère s’isoler et ne pas en parler. Les répercussions se font ressentir aussi bien dans le domaine professionnel que sentimental. Elle se décide tout de même à consulter son médecin qui la renvoie vers un psychiatre. Ce dernier lui prescrit des antidépresseurs et lui préconise de suivre une psychothérapie afin d’identifier le problème pour ne pas que cette dépression devient chronique.
Des traitements inefficaces
Débuter par un traitement médical approprié
Tout comme Lucile, chaque patient atteint d’une dépression passe bien souvent par cette première étape. Mais ces traitements ne sont pas sans conséquence. Bien évidemment, ils vont faciliter le sommeil, puisqu’ils vous coupent de vos émotions. Ce qui évite évidemment de ressasser vos idées noires. Mais les molécules chimiques de ces traitements ont de nombreux effets secondaires. Bien souvent, ils augmentent l’appétit, ce qui n’est pas un mal certes, mais ils modifient le sentiment de satiété. En effet, vous aurez tendance à manger plus que ce dont votre corps à besoin. Les conséquences ? Une prise de poids parfois importante. Faut-il choisir entre dormir ou grossir ? D’autres effets peuvent avoir des effets dévastateurs : la somnolence, l’insomnie ou les maux de tête.
La dépendance médicamenteuse : un cercle vicieux difficile à briser
Prenons l’exemple de Lucas, 43 ans, qui après avoir perdu son emploi est entré en dépression. Il a perdu le sommeil et n’arrive plus à se reposer. Sur prescription de son médecin, il a donc pris des antidépresseurs. Or, au réveil chaque jour, il se sent nauséeux, même si cela s’apaise au fil de la journée. Ce sont alors les migraines qui prennent le dessus. Il a certes retrouvé des nuits plus longues, car il se sent « assommé » après son traitement, mais les journées sont difficiles.
Ces effets secondaires, ne l’aident pas à se mobiliser pour retrouver du travail. Il entre alors dans un cercle vicieux. Il a besoin de dormir pour être en forme le lendemain et être proactif. Mais s’il ne prend pas ses médicaments il ne dort pas, s’il décide de les ingérer, il est sujet aux effets secondaires. Plus il avance dans le temps, plus le sevrage est difficile.
Une psychothérapie en dents de scie
Un accompagnement thérapeutique en parallèle du traitement
Le système médical actuel est en souffrance. Les psychiatres au sein des hôpitaux sont débordés et peinent à gérer les urgences. Bien souvent, les patients atteints de dépression doivent donc s’orienter soit vers un psychiatre qui exerce en libéral ou bien vers un psychologue. Mais vers qui se tourner ? Comment trouver le spécialiste qui vous aidera à vous en sortir ? Les personnes atteintes de dépression, se laissent vivre au jour le jour, car elles sont affublées de tristesse. Si certains ont la chance d’avoir un entourage bienveillant, ces derniers seront là pour les guider. Or, ce n’est pas la majorité des cas.
Quand les espoirs de guérison ne sont pas là, que faire ?
C’est exactement la question que se pose Mounia, 51 ans, qui vient de perdre son mari atteint d’un cancer, il y a tout juste un an. Elle se sent complètement perdue. Elle n’a pas eu d’enfant par choix et se retrouve seule à gérer sa peine. Lorsqu’elle a cherché un psychiatre comme on le lui a conseillé à l’hôpital après avoir été hospitalisée lors d’un épisode dépressif sévère, elle a pris le premier numéro venu. Malheureusement, les consultations se suivent, le traitement n’évolue pas et sa peine est grandissante. Cela fait à présent plusieurs mois qu’elle stagne à la phase 4 du deuil. Cette étape correspond à la dépression associée à la tristesse. Même si bien évidemment, il s’agit d’une phase salutaire, elle ne doit pas s’éterniser. Il faut transiter vers la résignation. Alors lorsque les traitements et les accompagnements médicaux ne vous donnent pas satisfaction, que faire ?
5 apports de l’hypnose pour guérir de la dépression
Encore méconnue et pourtant tellement efficace, l’hypnose est une méthode naturelle qui vous permet de guérir de la dépression. Vous en avez assez d’être dépendant des médicaments pour être en capacité de trouver le sommeil ? Pourquoi ne pas essayer l’hypnose Ericksonnienne ? Nous vous invitons à lire ou à relire notre article précédent, pour en savoir plus sur cet éminent psychiatre américain.
Les traitements médicamenteux et les psychothérapies font souvent leurs preuves. Mais un tiers des personnes n’y sont pas réceptives. L’hypnose, elle, propose une alternative à ces personnes qui ont besoin d’autre chose pour s’en sortir définitivement. Et surtout, elle est considérée comme une thérapie brève où les effets ne se font pas attendre. En fonction de la réceptivité de chacun, les troubles de l’humeur peuvent s’atténuer en quelques jours seulement. Voici quelques-uns des bénéfices que vous pourrez tirer des séances avec un coach en développement personnel qui pratique l’hypnose :
1. Éradiquer les schémas de pensée négatifs en proposant de nouveaux schémas positifs aux circuits neuronaux ;
2. Alléger les troubles de l’émotion ;
3. Se défaire des croyances limitantes et s’imprégner de visions positives ;
4. Se reconnecter à soi-même pour identifier ses propres ressources ;
5. Retrouver un sommeil de qualité afin d’apaiser le mental.
Zoom sur Vancouver
Iris, 19 ans, étudiante à Vancouver.
“Bien souvent avant le décès de mon père, il y a un an, nous venions nous promener régulièrement sur le pont suspendu de Capilano. C’est un pont de singe mondialement connu qui traverse le fleuve Capilano de part en part au Canada. Ma mère, mon père, mes deux sœurs cadettes et moi-même adorions venir nous promener ici et profiter de cette vue indescriptible. Il offre une vue spectaculaire sur cette surface d’eau immense. La vue varie en fonction des saisons. Aujourd’hui, il fait très humide, comme chaque hiver à Vancouver. Les 140 mètres de long me donnent l’occasion de laisser voguer mon esprit en tentant de chasser cette tristesse insoutenable qui me poursuit depuis le décès de mon père. Cette vue magnifique malgré la pluie fine persistante, met au défi quiconque de voir à plus de quelques mètres.
Ma vision de l’avenir ne m’offrait guère plus de visibilité que ce paysage. En effet, je ne voyais pas d’issue à mon mal-être malgré mon jeune âge. Je me suis donc mise comme de nombreux internautes à chercher sur Google, comment changer ma vie ? Je suis alors tombée sur la chaîne YouTube de Pascale Garnier, coach en développement. Avec un peu d’appréhension, je l’ai contactée pour lui exposer mon problème.
Pascale ne s’est pas contentée de me proposer une séance d’hypnose. Elle m’a accompagnée en véritable guide, en me proposant des exercices quotidiens. J’ai alors changé mes habitudes pour tenter de déblayer tous les éléments toxiques qui obscurcissaient mon chemin de vie. J’ai, avec Pascale, été capable de déblayer les obstacles qui m’empêchaient de dire au revoir à mon père que j’avais perdu. Je voyais de nouveau une perspective d’avenir où la joie m’attendait au bout du chemin. Alors en un mot : Merci !”.
Les bienfaits de l’hypnose Ericksonienne | 4 voies d’accès pour ENFIN avoir confiance en soi
« La plus grande chose au monde, c’est de savoir être soi », selon Montaigne. Voilà un bel objectif de vie que nombre d’entre nous aimeraient atteindre avant l’âge d’or. Mais en quoi l’hypnose Ericksonienne peut-elle bien vous aider à toucher du bout du doigt ce rêve ? En effet, comme le disait Milton H. Erickson lui-même, créateur de l’hypnose Ericksonienne : « Chaque personne est un individu unique. Par conséquent, la psychothérapie devrait être formulée pour répondre au caractère unique des besoins de l’individu, plutôt que d’adapter la personne pour qu’elle s’adapte au lit de Procuste d’une théorie hypothétique du comportement humain ». Pour la petite anecdote, Procuste est un personnage mythologique qui cherchait à « normer » chacun de ses hôtes.
En avez-vous assez d’essayer de rentrer dans un « moule » sans pouvoir être vous-même ?
Recherchez-vous un coach en développement personnel à Aix-en-Provence capable de vous aider grâce à des séances d’hypnose ericksonienne ? Vous voulez enfin devenir vous-même ?
Alors la suite de cet article devrait vous intéresser ===>
L’Hypnose : Kesako ?
Selon le dictionnaire Larousse, l’hypnose se définit ainsi : « état de conscience particulier, entre la veille et le sommeil, provoqué par la suggestion ». La technique la plus connue est évidemment l’hypnose de spectacle, mais l’hypnose thérapeutique est à l’opposé de cette dernière. Qu’est-ce qui les différencient ? Quels sont ces domaines d’application ?
Les différents types d’hypnose
L’hypnose n’a jamais réellement fait l’objet d’un consensus de la part des praticiens. À ce jour, il n’y a donc pas de définition universelle. C’est cette hétérogénéité qui a donné lieu à la création de nombreuses techniques d’hypnose très variées avec des buts différents.
L’hypnose classique : il s’agit d’une technique autoritaire et directive, où l’hypnotiseur au travers de ses paroles donne des ordres. Cette branche de l’hypnose est de moins en moins représentée.
L’hypnothérapie : cette dernière est utilisée en psychothérapie et privilégie deux sous-branches :
L’hypnothérapie analytique où le psychanalyste associe sa pratique à l’hypnose.
L’hypnothérapie onirique : le praticien plonge le patient dans un état second où il rêve de manière éveillée.
Plus récemment, le domaine médical s’est approprié cette technique. L’hypnose médicale n’est pas encore reconnue par l’ordre des médecins, même si sa formation fait l’objet d’un D.U. d’hypnose (diplôme universitaire). Elle est qualifiée de méthode non-conventionnelle reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé. Elle est utilisée pour réduire les douleurs et diminuer le stress du patient.
L’hypnoseEricksonienne que je vous propose aujourd’hui à Aix-en-Provence, place l’individu au centre de la pratique. En effet, on le rend acteur de la séance d’hypnose. C’est comme si vous étiez las de conduire votre voiture pour atteindre un point donné et que vous décidiez de laisser le volant à l’hypnotiseur. Ce dernier prend le volant et vous devenez passager tout en sachant où vous devez aller.
Pourquoi privilégier l’hypnose Ericksonienne ?
Parmi toutes les sous-catégories de l’hypnose à visée thérapeutique, l’hypnose Ericksonienne est la plus représentative et prépondérante. Les raisons qui justifient sa notoriété sont multiples :
L’hypnose est semi-consciente : la personne hypnotisée n’est jamais inconsciente, elle ne peut pas être manipulée. Le praticien use de suggestions indirectes et de figures de style telles que la métaphore pour ouvrir les verrous qui bloquent la porte vers la découverte de son propre soi.
Le thérapeute est empathique : avant d’entamer sa séance, le praticien écoute la personne. Il s’approprie ainsi son style, ses formulations, son langage pour coller au mieux à sa personnalité.
La personne hypnotisée est respectée : le praticien ne donne pas d’ordre, il est permissif.
La personne hypnotisée est actrice : elle participe à son évolution puisque le thérapeute la guide pour dénicher ses propres ressources enfouies dans son inconscient.
Le coach en développement personnel devient un médiateur entre votre inconscient et vous-même. À l’image du fil d’Ariane, il vous permettra de trouver la solution pour sortir de ce labyrinthe en vous aidant à trouver vos propres ressources et idées.
Pour qui l’hypnose Ericksonienne peut-elle être bénéfique ?
Avant d’aborder ses bienfaits sur le corps et l’esprit, il est important de répéter qu’en aucun cas, cette pratique n’est qualifiée de soin. Elle représente un outil avec un fort pouvoir de connexion à son propre soi afin d’améliorer ses capacités intrinsèques pour aider au rétablissement.
L’hypnose Ericksonienne a déjà fait ses preuves dans trois domaines différents : physique, comportementale et sur le développement personnel et émotionnel. C’est ce dernier domaine qui nous concerne ici au cours des séances d‘hypnose Ericksonienne à Vannes. Si vous êtes curieux de savoir comment il est possible d’accéder à la découverte de son propre soi grâce aux séances d’hypnose, vous êtes au bon endroit.
Que signifie devenir soi-même ?
Répondre à cette question nécessite de prendre en considération plusieurs critères. Faire une liste de termes successifs serait long et fastidieux. D’autant plus que les critères varient d’une personne à l’autre. Ceci étant dit, il y a certains éléments récurrents qui méritent que nous nous attardions sur eux.
1. Se connaître soi-même
Chacun d’entre nous à l’âge adulte, porte en lui un héritage. Ce dernier revêt des origines variables : l’histoire personnelle, le type d’éducation reçue par ses parents, les mœurs liés à notre culture d’origine, le vécu personnel, le contexte social ou encore la religion.
Évidemment, cet héritage fera toujours partie de vous, mais il ne vous définit pas.
Afin de se révéler, avec sa propre personnalité, il faut être capable de se différencier de sa propre histoire. Mais s’éloigner des préjugés de ses proches est parfois très compliqué.
Prenons l’exemple de la religion, il est très difficile d’expliquer à ses parents qu’on ne partage pas ou plus leurs valeurs religieuses. Expliquer sa décision de ne plus participer aux événements religieux auxquels vous aviez l’habitude de participer avec votre famille est un exercice périlleux.
Que faut-il faire ? Prendre le risque de briser le lien familial ou se taire ? Ne risque-t-on pas de se perdre soi-même si on ne construit pas sa vie en phase avec ses propres valeurs ? Même si la peur de se retrouver seul peut en hanter plus d’un, il est indispensable d’apprendre à vivre en fonction de ses convictions.
L’hypnose Ericksonienne peut vous aider à briser ses chaînes en vous aidant à puiser dans vos ressources personnelles ancrées dans votre subconscient.
2. S’appuyer sur ses qualités et accepter ses zones d’ombre
Qui ne s’est jamais détesté en se regardant dans le miroir ? Et pourtant tout allait bien jusqu’à ce que vous croisiez votre reflet : confiance en vous, image de soi… Mais se regarder en face nous rappelle parfois que l’on se crée une image idéale de son propre-soi. Il en va de même pour ses qualités et ses défauts, même s’il est bien plus facile, autant se l’avouer, d’apprécier ses qualités. Mais si votre objectif est de vous connaître vraiment, il est nécessaire de prendre en considération ses atouts et ses faiblesses dans leur intégralité. Qu’il s’agisse de défauts de nature physique ou comportementale, vous vous rendez service en les acceptant.
En vous voilant la face, en essayant de les occulter, vous ne réussirez pas à vous assumer tel que vous êtes.
Rien n’effacera les erreurs que vous avez pu commettre par le passé en laissant s’exprimer votre part d’ombre. Par contre, rien ne vous oblige à les reproduire au présent ou dans le futur en apprenant à connaître vos défauts pour en faire une force. Là encore, l’hypnose Ericksonienne peut vous aider à plonger dans votre inconscient afin de « rejouer » certaines scènes du passé différemment.
3. Créer un environnement qui vous ressemble
L’être humain se distingue de l’animal par le fait de pouvoir exprimer sa pensée. Cette dernière se construit au travers du langage. Qui dit langage, dit échange avec ses pairs. Une fois encore, soyez sélectifs dans votre entourage. Être soi-même ne peut se faire que si vous vous sentez à l’aise et en confiance auprès des vôtres. Qu’il s’agisse de vos amis ou de votre famille, si vous êtes en présence de personnes toxiques, vous aurez tendance à jouer un rôle. Par voie de conséquence, si vous jouez un rôle, vous n’êtes plus vous-même. Cependant, il est parfois très difficile de se détacher de ce genre de personnes toxiques, surtout lorsqu’elles font partie de votre proche environnement.
Nous pouvons prendre l’exemple récurrent du conflit belle-mère/belle-fille. Un couple très amoureux peut vivre des conflits épineux récurrents à ce sujet. En effet, même si vous vivez loin de votre belle-mère et que celle-ci n’adhère pas à vos principes éducatifs, elle ne manquera pas une occasion de vous le faire sentir d’une manière ou d’une autre. Quelques séances d’hypnose Ericksonienne, peuvent vous aider à trouver des ressources qui se trouvent en vous et qui ont déjà fait leurs preuves dans d’autres situations conflictuelles. Ceci peut vous éviter de sacrifier votre couple pour un tiers. En effet, sacrifier sa vie amoureuse à cause d’une relation toxique reviendrait à se faire du mal à soi et aux principaux intéressés : son mari et ses enfants.
4. Assumer son caractère
Lorsque nous vivons dans une société du consumérisme comme la nôtre actuellement, il est très facile de se laisser influencer. En effet, tout est codé, normé pour vous laisser penser que si vous souhaitez vous intégrer, il vous faut penser, vous vêtir et consommer d’une façon bien particulière. Malheureusement, si vous persistez dans cette voie, en suivant le « troupeau », vous n’arriverez pas à vous affirmer en tant qu’être humain différencié. Afin d’illustrer ces propos, je vous invite à lire le témoignage d’une de mes clientes ci-dessous :
ZOOM sur Aix-en-Provence
Prenons l’exemple de Romane, 17 ans, vivant à Aix-en-Provence.
Romane, vit chez ses parents et est en terminale. Depuis son arrivée au collège, en 6ème, elle subit du harcèlement, car complètement désintéressée de la mode, elle ne suit pas du tout le code vestimentaire imposé par la société. Lorsqu’elle est entrée en 2de au lycée, elle a décidé de s’habiller comme tout le monde afin de s’intégrer parmi ses pairs.
Du jour au lendemain, l’attitude de ses camarades envers elle a littéralement changé. Elle qui était toujours pointée du doigt et mise à l’écart, s’est tout de suite fait une multitude d’amis.
Parmi eux, se trouvaient même certains de ses anciens camarades qui la jugeaient et qui allaient même jusqu’à l’insulter quelques mois plus tôt, lors de leur dernière année de collège. Romane était aux anges durant les 6 premiers mois qui ont suivi ce changement de code vestimentaire.
Puis petit à petit, ses parents ont décelé chez leur fille une dégradation comportementale : une humeur maussade sans qu’il y ait de cause notoire, un manque d’appétit flagrant, elle ne se rendait plus au cours d’aquarelle qu’elle adorait, s’isolait de plus en plus, répondait aux questions de manière évasive en prétextant que tout allait bien.
La situation persistant, ils sont venus me voir accompagnée de Romane afin de m’exposer la situation.
Il en est ressorti que Romane se sentait enfin reconnue par ses pairs, mais elle s’est rendu compte que ce n’était pas elle qu’ils appréciaient, mais bel et bien ses vêtements. Elle se demandait si avoir des amis résultait uniquement à adopter une apparence commune sans s’intéresser à la personnalité de chacun. Ce questionnement existentiel l’a conduite vers un état dépressif.
Nous avons donc entamé un programme de séances d’hypnose Ericksonienne en complément de son suivi psychologique pour l’aider à être en phase avec son propre caractère et ses valeurs. Sur ce dernier point, je vous invite d’ailleurs à lire cet article qui vous éclairera sur la connaissance de ses valeurs. Dans un second temps, nous avons effectué un travail sur la création d’un environnement propice afin que Romane s’entoure d’amis qui lui ressemblent sans qu’elle n’ait à adopter un nouveau look.
Peu à peu, elle a commencé à retrouver le sourire et l’appétit, tout en construisant sa propre personnalité. Elle a de nouveau perdu beaucoup d’amis, mais les quelques-uns qui l’accompagnent toujours sont de véritables amis qui l’apprécient pour ce qu’elle est.
Lorsque nous sommes confrontés à des situations compliquées, il est difficile de rester positif.
Beaucoup de personnes de se réfugient dans les plaintes et les doutes. Pourtant, rester positif est la meilleure attitude à avoir face à l’adversité. C’est d’ailleurs l’une des clés pour être heureux et bien vivre sa vie. La positivité présente également divers bienfaits sur d’autres aspects de notre vie au quotidien. C’est quelque chose d’essentiel pour être en paix avec soi-même et vivre dans un environnement sain.
Que ce soit cultiver une vision positive, prendre du recul, se focaliser sur le positif, adopter un vocabulaire optimiste ou encore penser du bien des autres, les astuces pour travailler ses pensées positives sont nombreuses et peuvent s’avérer particulièrement utiles.
En un mot comme en cent, la positivité est l’une des clés du bonheur.
Garder espoir et le partager
La capacité de quelqu’un à rester positif provient en partie de l’inné et de l’éducation. Elle peut cependant se travailler et ainsi être véritablement bénéfique.
Par exemple, faire en sorte que le cerveau adopte une approche plus optimiste aide notamment à réduire l’impact du stress et de l’anxiété de manière globale. De même, être capable de transmettre de l’espoir à ceux qui nous entourent permet de créer des environnements plus sûrs et plus nourrissants sur le plan émotionnel. Pour cela il est important de ne pas généraliser les obstacles auxquels nous pouvons être confrontés. Si on se limite uniquement à un événement, sans penser qu’il se répétera dans le temps ou dans d’autres domaines de la vie, on est plus apte à trouver des ressources pour les surmonter.
D’ailleurs de manière générale, relativiser reste le meilleur moyen d’y arriver.
Trouver en soi les ressources pour combattre la lassitude, l’épuisement et le sentiment d’injustice est également essentiel. Pour partager son optimisme autour de soi et l’accroitre par la même occasion, rester actif et bienveillants sont des clés indispensables. Enfin, il faut impérativement ne pas se tourner perpétuellement vers les regrets pour éviter la rumination. Être serein dans son corps et son esprit se fait d’abord par de bonnes habitudes et un optimisme à long terme. Ainsi, rester sur des expériences négatives ne fera qu’entraver votre chemin vers une vie plus agréable.
L’importance de croire en l’avenir
L’optimisme est une anticipation positive du futur. Quelqu’un qui sait rester positif fait généralement preuve de réalisme, mais se vit comme acteur de ce qui lui arrive et non comme victime, ne serait-ce qu’en donnant du sens aux épreuves qu’il traverse, et en se projetant vers une solution, aussi difficile soit-elle.
Bien qu’il y ait une part de l’attitude induite par l’éducation et la culture, il est important d’en développer une optimiste face aux obstacles et de travailler pour la renforcer jour après jour.
C’est notamment le cas en reprenant contact avec soi ou en reconnaissant ses peurs et ses besoins, ce qui signifie avoir le sens de la responsabilité.
D’après certaines études américaines, les personnes optimistes vivent plus longtemps et en meilleure santé que les pessimistes. En effet, elles ont moins d’événements stressants à gérer au quotidien et cela a un impact considérable sur la vie de ces personnes. Les chercheurs de l’Université de Boston (États-Unis) ont constaté que les hommes optimistes affichaient une humeur positive et des niveaux inférieurs de stress que les autres, confirmant ce rapport de cause à effet.
Cette recherche conclut donc que les personnes positives gèrent mieux le stress quotidien et bénéficient ainsi d’un meilleur bien-être émotionnel.
Les auteurs de cette étude ont d’ailleurs écrit que « l’optimisme peut préserver le bien-être émotionnel chez les personnes âgées en engageant des stratégies de régulation des émotions qui se produisent relativement tôt dans le processus de génération des émotions ».
L’optimisme n’est donc pas une «pensée magique», mais plutôt un état d’esprit qui a de multiples bénéfices à la fois sur la santé physique et la santé psychique.
S’autoriser à envisager une tournure favorable aux événements et agir dans ce sens; amènent des bénéfices sur le plan social, mental et sur la santé. Rester positif pousse à mieux prendre soin de soi, et augmente la capacité du corps à combattre la maladie, la fatigue et les burnouts. Rester positif rime donc avec : être en bonne santé.
Être optimiste construit de bonnes relations avec autrui et rend les expériences du quotidien plus agréables. C’est pourquoi, il faut le travailler au fur et à mesure du temps.
Rester actif dans sa positivité
Comme dit précédemment, l’éducation et le milieu dans lequel on évolue déterminent en partie notre vision des choses, optimistes ou pessimistes, mais l’optimisme peut cependant s’acquérir par la volonté et la pratique d’exercices au quotidien.
Par exemple, le concept d’optimisme “intelligent”, notamment popularisé par Alain Braconnier, propose de chercher l’opportunité qui se cache dans chaque difficulté après s’être accordé le temps de digérer la situation. Loin de la pensée magique, l’optimisme intelligent est une façon de voir la vie du bon côté qui ne s’oppose ni à la complexité de notre psychisme ni à la raison. Il convient de chercher l’opportunité qui se cache dans chaque difficulté plutôt que de la considérer comme une invitation à « tout laisser tomber ». Mais, avant cela, il est important de s’accorder le temps de digérer la nouvelle situation (échec, impasse, retard) et les émotions qu’elle déclenche. Trop de décisions sont prises hâtivement parce qu’elles sont motivées par le désir de passer à un épisode plus agréable. Or, l’optimisme intelligent fait avec la réalité, il n’est ni déni de celle-ci ni refoulement des émotions négatives.
Il peut aussi être intéressant de s’autoriser des moments de mauvaise humeur, à condition d’en devenir rapidement spectateur plutôt qu’acteur.
Le contrôle de ses émotions est important et ainsi développer son intelligence émotionnelle peut être d’une grande aide pour devenir ou rester quelqu’un de plus positif. Comme exercice concret, ressortir chaque soir au moins un élément positif de la journée et en ressentir de la gratitude permet avec l’habitude de profondément modifier son mindset et d’ainsi percevoir les événements avec davantage d’optimisme. Dans cette perspective, innover chaque jour (que ce soit avec une nouvelle recette de cuisine, une nouvelle activité…) permet au cerveau de développer ses neurones et d’avancer. De plus, l’optimisme est contagieux ! Entourez-vous le plus possible de personnes optimistes, positives et audacieuses, cela vous aidera considérablement au quotidien. Enfin, pour un bon développement personnel, le coaching auprès d’un professionnel peut s’avérer extrêmement bénéfique pour mieux se comprendre soi-même et établir un management optimal de ses émotions.
L’optimisme par l’intuition
Pour vous aider à rester positif, votre meilleur allié n’est autre que vous-même. Il faut que vous appreniez à vous écouter et à développer votre intelligence intuitive. La pensée intuitive repose sur un processus nommé « mode mental préfrontal » en neurosciences.
Il s’agit d’un balayage rapide de la situation par le cerveau, qui met en relation de multiples informations et les compare le plus souvent à des souvenirs.
Ainsi, elle se renforce avec l’âge et l’expérience, qui permettent au mental de faire de multiples analogies. En travaillant son intuition il est alors possible de considérablement améliorer ses raisonnements. Ainsi vous serez plus à l’écoute de vos décisions et de votre bonheur sur le long terme. Je vous enseigne à entendre cette petite voix qui vous parle mais que vous n’écoutez pas toujours, à la repérer, à identifier par quel canal (auditif, visuel, corporel) elle se manifeste à vous et à la suivre.
Une très grande part de notre processus mental repose sur l’intuition et plusieurs études ont démontré, et ce dans différents domaines, que la première impression est souvent la bonne.
Ne pas s’écouter signifie souvent une perte de confiance en vos ressentis et une trop grande focalisation sur les détails d’une situation alors que l’intuition offre une vision globale. Il est bon d’accueillir et de faire confiance à vos ressentis, ils vous donnent la direction de votre réflexion. À vous ensuite de l’étayer avec des éléments mesurables et objectifs. De plus, sans un minimum de recul, il est très compliqué de laisser place à l’intuition. En repérant le potentiel d’une situation plutôt que les contraintes qui l’entourent, vous encouragez l’émergence de vos ressentis. En simplifiant les choses et en allant à l’essentiel, l’intelligence intuitive peut se mettre en route.
Prendre de la hauteur permet également de faire la différence entre l’intuition et l’émotion, qui peut fausser le raisonnement. La méditation de pleine conscience s’avère intéressante pour s’extraire d’une situation et la regarder de haut, sans être parasité par vos peurs ou vos blocages.
Quizz : Etes-vous positif ?
Pour conclure, voici un petit quizz rapide pour que vous puissiez voir où vous vous situez en termes d’optimisme.
1. Dans les périodes d’incertitude, je m’attends généralement au mieux.
· Oui la plupart du temps
· Ça dépend
· Pas du tout
2. Ce matin, vous vous pesez. Avant de monter sur la balance, que pensez-vous du résultat que vous allez obtenir ?
· Vous vous sentez bien dans votre corps, du coup le résultat n’a pas trop d’importance à vos yeux.
· Pas grand-chose. Vous ne savez pas si vous avez grossi ou non.
· C’est certain vous devez peser une tonne.
3. Si quelque chose risque de mal aller pour moi, ce sera le cas.
· Non, au contraire
· Ça dépend
· Oui la plupart du temps
4. Vous dormez profondément dans votre lit quand un bruit dans la cuisine vous réveille. Que pensez-vous ?
· C’est probablement le chat qui fait des siennes.
· C’est bizarre, si cela se reproduit je me lèverai.
· C’est anormal, il y a probablement un voleur dans la maison.
5. Vous avez l’impression :
· Que rien n’est jamais grave.
· De ne pouvoir compter que sur moi
· De n’avoir pas été épargné par la vie
6. Vous pensez que la nature humaine est :
· Généreuse.
· Déterminée par son instinct de survie.
· Cruelle, l’homme est un loup pour l’homme.
7. Quelle phrase vous semble la meilleure entre ces trois choix ?
· « Le monde appartient aux optimistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs », F.Guizot.
· « Les optimistes croient que nous vivons dans le meilleur des mondes possibles. Les pessimistes craignent que cela soit vrai », JB. Cabell.
· « Les optimistes et les pessimistes ont un grand défaut qui leur est commun : ils ont peur de la vérité », T. Bernard.
8. « Anticiper un malheur, c’est le vivre deux fois ». Que pensez-vous de cette phrase ?
· C’est vrai mais cela ne doit pas empêcher d’être prudent.
· Il n’y a rien de plus vrai. Il ne faut pas penser à ce qui est négatif.
· C’est faux. Anticiper un malheur, c’est tenter de s’en protéger.
9. Globalement vous voyez la vie :
· Du bon côté.
· Comme elle est.
· Comme votre principal ennemi.
Vous l’aurez compris, dans ce quizz le mieux est de toujours choisir la première réponse, voir la deuxième. A l’aide des résultats, vous pouvez alors en conclure où est-ce que vous vous situez entre optimisme et pessimisme.
Zoom sur Vannes
Caroline, 40 ans, divorcée depuis peu avec son ex-mari avec qui elle a partagé 12 ans de mariage et de vie commune, se retrouve seule face à la vie. Brisée et abattue par son divorce, elle n’a plus confiance en elle et en son sens relationnel. J’ai rapidement compris qu’elle était perdue et qu’il fallait que je renoue la communication d’elle à elle-même. Chez elle, à Vannes, nous avons alors commencé un travail d’écoute grâce à un accompagnement adapté sur la pratique de l’intuition. L’important pour elle était avant tout de se retrouver et de s’écouter afin de reconnaître ses émotions pour pouvoir les assumer.
Difficile quand on sort d’un divorce et qu’on rentre dans la phase de déni et du surcontrôle de ses émotions, mais après plusieurs séances à extérioriser ses sentiments grâce à sa voix intérieure, ma formation a fini par rendre à Caroline un visage plus éclairé et détendu.
Dans la deuxième phase du travail, il faut mettre en lumière ses nouveaux besoins et la façon dont elle peut les affirmer pour rebâtir sa confiance relationnelle. Ce qui est sûr, c’est qu’elle redevient positive et optimiste par rapport à son futur.
Adresse 767, Avenue du 8 Mai 1945 13330 Pélissanne
Téléphone 06 87 60 65 25
Les RDV se déroulent en visio (Whatsapp, Google Meet, Skype) avec la même efficacité qu’en présentiel les :
- lundi : 14h30-16h, 16h-17h30
- mardi : 14h30-16h, 16h-17h30, 17h30-19h
- mercredi : 8h30-10h, 10h-11h30, 14h30-16h, 16h-17h30, 17h30-19h
- jeudi : 8h30-10h, 10h-11h30, 14h30-16h, 16h-17h30, 17h30-19h. Pour toute demande en dehors de ces créneaux, appeler le : 06 87 60 65 25.
Gérer le consentement
Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Fonctionnel
Toujours activé
L’accès ou le stockage technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
L’accès ou le stockage technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.